En dehors des collines qui enjolivent cette ville, elle est minée par des tas de problèmes qui donnent des céphalées aux populations. Il s'agit entre autres de la question d'eau qui chauffe à n'en point finir le ''congolo'' des citoyens et de l'érosion qui ne cesse de dicter sa loi aux routes et ruelles pendant la saison pluvieuse. Au village de Djawèrè, la situation est vraiment critique. Car en dehors du goudron, il n'y a plus de route pour faciliter la libre circulation des usagers. Nous avons plutôt des ruelles bien avalées par l'érosion. C'est un véritable calvaire que vivent les administrés. Mais personne ne veut en parler. C'est déplorable. Le développement est-il possible sans des routes de qualité ? On n'a qu'à voir Dieu pour en savoir plus. Face à une telle situation, les premières personnes qui devraient réagir sont les dirigeants, plus précisément, les gouvernants à la base. Dois-je citer des noms ? Pas question.